Environnement & publicité ne font pas toujours bon ménage… La tentation de (sur)valoriser les bénéfices environnementaux d’un produit, d’une action, d’un service peut être forte… Attention au greenwashing !
L’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) et l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) veillent et viennent de publier leur bilan Publicité et Environnement 2017. Nouveauté de cette 9ème édition : la prise en compte des annonces sur les réseaux sociaux.
Principaux enseignements du bilan Publicité et Environnement
De grandes tendances ressortent du bilan Publicité et Environnement 2017 de l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) et l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) :
- Un fort taux de conformité (94% des annonces examinées) avec les recommandations Développement durable de l’ARPP : seulement 37 manquements observés sur les près de 25000 publicités examinées
- Une stabilité depuis 4 ans du nombre de publicités recelant un argument écologique
- La moitié des manquements concernent la présentation de véhicules motorisés sur des espaces naturels.
- Un travail à mener auprès des équipes travaillant sur les réseaux sociaux quant aux règles éthiques
La vigilance est toutefois de mise dans la communication durable. Eco-communiquer nécessite de respecter un certain nombre de règles et d’intégrer l’ensemble de l’équipe-projet (stratégie, création, digital, presse…) dans la réflexion. L’ensemble des aspects de la campagne pourront alors être conformes et éthiques.
Intégralité du bilan à retrouver en cliquant ici
Le petit + de MELT
Si vous avez une problématique de communication environnementale, consultez le site de l’éco-communication de l’ADEME : http://eco-communication.ademe.fr/