Vidéo – 3 étapes à suivre pour un résultat impactant

Caméra filmant dans une bibliothèqie

La vidéo est un outil intéressant lorsque l’on réfléchit à la valorisation d’un projet. Visuelle, auditive, rythmée, sous-titrée… elle présente de nombreux atouts en matière de pédagogie et d’accessibilité au plus grand nombre. Afin d’en optimiser l’impact, voici 3 étapes à suivre ! Dans cet article, nous vous donnons des clés pour planifier et préparer votre vidéo, identifier les points clés pour la tourner et la monter, puis la diffuser et mesurer son impact.

Étape 1 – Planifier et préparer son projet vidéo

Avant de commencer la planification, il est essentiel de clarifier l’objectif de la vidéo, les personnes ciblées et le message principal que vous souhaitez transmettre. Quels ont été les acteurs de votre projet ? Pouvez-vous donner la parole à chacun d’entre eux ? A quoi servira cette vidéo ? Qui cible-t-elle ? Dans quel objectif ? Que voulez-vous que l’on retienne une fois l’avoir visionné ? Que ce soit pour informer, inspirer ou inciter à l’action, cette clarification guidera toutes les étapes suivantes.

En fonction de votre public cible et de l’objectif de la vidéo, choisissez le format le plus approprié. Cela concerne l’utilisation ou non de motion design, de la vidéo traditionnelle, la durée de la vidéo, etc. Assurez-vous que le format choisi correspond à la nature du projet et aux attentes de votre public.

Pensez ensuite à votre script, colonne vertébrale de votre vidéo, il devra inclure une introduction captivante, un développement clair des idées, les témoignages des acteurs clés, et une conclusion percutante. Assurez-vous que le script soit fluide, engageant et aligné sur le message clé que vous souhaitez transmettre.

Par la suite, identifiez les acteurs clés impliqués dans le projet qui peuvent témoigner de manière convaincante de l’impact de votre projet et de ses bénéfices. Cela peut inclure des membres de l’équipe de projet, des bénéficiaires, des parties prenantes externes, etc. Choisissez des personnes authentiques et diversifiées pour offrir une perspective complète du projet et la plus transparente possible.

Dans le cadre d’un projet sur la sensibilisation au gaspillage alimentaire et à l’alimentation locale et durable dans la restauration collective, Melt a accompagné la Communauté de Communes Ambert Livradois Forez, dans la création d’une vidéo de bilan et de valorisation de ce projet (avec l’appui de la boîte de production clermontoise Pix’nProd). Plusieurs acteurs du territoire ont été mobilisés pour montrer la diversité des parties prenantes : agriculteurs, cantiniers, agents du territoire, convives ….

Clip Vidéo du projet A table, mangeons bien, jetons moins, réalisé pour Ambert Livradois Forez, avec l’expertise de Pix’n’prod

« La vidéo est un média qui permet à la fois de synthétiser et de valoriser notre travail de façon dynamique, mais aussi de rendre crédibles et concrètes les actions menées et de donner envie à d’autres personnes d’y participer. »

Marie-Laure Labouré, Responsable du service agriculture et forêt à la communauté de communes d’Ambert Livradois Forez

La vidéo devra mettre en lumière les bénéfices tangibles du projet et les changements positifs qu’il a apportés. Que ce soit en termes de résultats quantifiables ou d’impact sur la communauté, les bénéfices doivent être clairement articulés et illustrés à travers des exemples concrets.

Étape 2 – Tourner et monter la vidéo

Pour capturer les moments importants, identifiez les moments clés du projet ou de l’événement pour planifier les journées de tournage. Assurez-vous d’obtenir des séquences qui illustrent clairement les réalisations et les moments significatifs du projet. Pensez à anticiper les éventuels obstacles comme le mauvais temps et prévoyez des solutions alternatives. Par exemple, avoir un plan de secours pour les prises de vue en extérieur ou la possibilité de déplacer le tournage à l’intérieur si nécessaire.

En amont de l’interview, il est recommandé d’échanger avec chaque intervenant de la vidéo pour évoquer les aspects qu’il devra aborder dans sa réponse, l’organisation concrète, etc. Cette préparation permettra de s’assurer du contenu et aidera aussi la personne à être stressée le jour J. Cela empêche également les malentendus si vos attentes en tant que communicant ne sont pas les mêmes que celles de la personne interviewée.

Définissez à l’avance le temps imparti à chaque prise de parole pour ne pas dépasser la durée fixée pour la vidéo. Cela garantira que chaque intervenant reste succinct et que la vidéo conserve un rythme dynamique. Encouragez les intervenants à prendre leur temps et à se sentir à l’aise devant la caméra. N’hésitez pas à effectuer plusieurs prises pour capturer les meilleures performances et éviter les blancs, les bégaiements ou toute autre imperfection.
Une fois le tournage terminé, procédez au montage en sélectionnant les meilleures prises de vue et en les assemblant de manière fluide. Vous pouvez intégrer des éléments visuels et des effets sonores pour enrichir l’expérience visuelle et auditive de la vidéo.

Enfin, avant de finaliser la vidéo, partagez-la avec les parties prenantes pour recueillir leurs retours et suggestions. Effectuez les ajustements nécessaires en fonction des commentaires reçus afin de vous assurer que la vidéo répond aux attentes de tous les intervenants.

Vous pouvez également organiser un événement pour lancer la vidéo en réunissant les partenaires, les personnes ayant témoigné ainsi que l’ensemble des cibles et parties prenantes du projet.

Pour le projet A table, la communauté de communes Ambert Livradois Forez a choisi de projeter le clip vidéo, en avant-première, lors d’une soirée conviviale de bilan du projet A Table.

Étape 3 – Diffuser et mesurer l’impact de votre vidéo

Pour un rendu efficace, analysez votre public cible et identifiez les plateformes où il est le plus susceptible de consommer du contenu vidéo. Cela peut inclure les réseaux sociaux (avec des formats adaptés à chaque plateforme), le cinéma, la télévision, le site internet de votre organisation, etc. Adaptez le format et le contenu de la vidéo en conséquence pour chaque plateforme.

Afin de toucher largement les habitants de son territoire, la communauté de commune Ambert Livradois Forez va ainsi s’appuyer sur son cinéma local pour diffuser cette vidéo au moment des bandes annonces.

Créez un plan de communication / diffusion détaillé pour promouvoir la vidéo avant, pendant et après sa diffusion. Utilisez les canaux de communication pertinents pour votre public cible, tels que les newsletters, les réseaux sociaux, les partenariats avec des organismes concernés, mais aussi l’événementiel pour lancer officiellement la vidéo si le projet est important pour la structure …

Utiliser les réseaux sociaux

Une fois la vidéo publiée, utilisez les outils d’analyse disponibles sur les plateformes de diffusion pour suivre les indicateurs de performance de la vidéo, tels que le nombre de vues, de partages, de commentaires, le taux de rétention, etc. Ces indicateurs vous permettront d’évaluer l’engagement du public et l’efficacité de votre stratégie de diffusion. Encouragez les spectateurs à fournir des retours directs sur la vidéo en posant des questions, en lançant des sondages ou en incitant à la discussion dans les commentaires. Ces retours vous aideront à évaluer l’impact de la vidéo sur les comportements visés et à identifier les domaines où des améliorations peuvent être apportées. Vous pouvez également utiliser des KPI off-line pour mesurer les changements occasionnés par votre vidéo et ainsi déterminer son efficacité.

Associer fêtes de fin d’année et durabilité

Etoiles en papier lumineuse sur un marché de Noël

Les fêtes de fin d’année sont une bonne occasion, pour les acteurs publics locaux notamment, de se mobiliser pour communiquer et sensibiliser les habitants au développement durable. Cette période, joyeuse et festive, n’est cependant pas sans conséquences pour notre planète. En effet, l’achat massif de cadeaux, souvent produits à l’autre bout du monde, le gaspillage alimentaire, la génération de déchets et la consommation énergétique qui augmente sont autant d’activités humaines qui impactent l’environnement de manière drastique en ces fins d’année.

Les collectivités territoriales ont à cœur de se mobiliser pour rendre les fêtes de fin d’année plus respectueuses de l’environnement sur leur territoire en communiquant de manière responsable et en sensibilisant sa population. Des actions et solutions dans lesquels les communicants, publics ou privés, ont leur rôle à jouer.

Eco-concevoir ses événements de fin d’année 

La période des fêtes de fin d’année est propice à l’organisation de nombreux événements. Marchés de Noêl, spectacles, lancement des décorations de Noël… Il convient de leur appliquer les critères de l’éco-conception que ce soit en matière d’organisation, de scénographie ou encore de communication.

Pour des marchés de Noël plus responsables

Limiter les déchets et le gaspillage alimentaire

A l’occasion d’un marché de Noël, visiteurs et riverains se retrouvent autour d’un verre de vin chaud, de bière ou de plats traditionnels… Autant de consommations génératrices de déchets : pensez à vous équiper d’une vaisselle réutilisable.

Les éco-cups par exemple sont une solution adaptée. Elles permettent de communiquer sur l’évènement avec un visuel personnalisé et peuvent être conservées comme souvenirs par les consommateurs. S’ils ne les veulent pas, un système de consigne peut être mis en place.

Ce type de restauration engendre également énormément de gaspillage alimentaire. Sensibiliser sur ce sujet en proposant des doggy bag, en faisant passer des messages via la sono ou par un affichage sur les stands de restauration est une nécessité. Il est également important de sensibiliser les exposants/participants sur ce sujet. Cela peut passer par une charte de l’événement (à signer par toutes les personnes qui exposent). 

Une autre solution pour lutter contre le gaspillage est de collecter les restes alimentaires pour en faire don à des associations locales. Attention à bien anticiper ce volet et prendre contact bien en amont de l’événement avec les associations en question. Elles pourront vous indiquer ce qu’elles acceptent et comment cela doit être conservé et conditionné.

Faire preuve de sobriété énergétique

Les marchés de Noël, et les villes de façon plus générale, s’ornent de nombreuses décorations pour célébrer la fin d’année. Ces dernières, pour la plupart électriques, consomment énormément. Et si cette fin d’année rimait avec sobriété ?

De quoi soulager la consommation et la facture de la collectivité. Ce choix doit être expliqué de façon pédagogique auprès de vos habitants. La sensibilisation peut se faire sur la consommation d’énergie générée par les décorations lumineuses de Noël.

D’après une étude de l’ADEME calculant l’impact énergétique des illuminations de Noël, celles des intérieurs et des extérieurs français représentent une consommation de 75Gwh par an et la consommation électrique d’une maison et d’un jardin richement décorés qui restent allumés pendant 4h par jour pendant 30 jours représentent à elles seules la consommation d’un mois et demi d’éclairage du logement.

Pensez là aussi à adopter un ton positif et pédagogique, plutôt que moralisateur et dramatique. Votre cible sera alors plus apte à agir et adhérer. Le but n’est pas de la démoraliser avec les effets catastrophiques du réchauffement climatique, mais de lui indiquer de manière bienveillante comment réduire son impact à son échelle.

Valoriser les producteurs locaux

Un événement responsable, c’est également un événement qui privilégie et valorise les producteurs locaux ! Des dérives peuvent exister dans certains marchés de Noël. Favoriser les artisans locaux est un gage de qualité et de promotion d’une consommation plus responsable, que ce soit en matière de restauration ou de produits. Pensez également à les mettre en valeur lors de vos différentes communications : sur vos comptes réseaux sociaux, affiches, programmation, articles dans le journal local… Leur offrir plus de visibilité permet de sensibiliser la population à un autre façon de consommer et à incarner les engagements de la collectivité.

Sensibiliser et mobiliser les jeunes générations

Un excellent moyen de communiquer, et de plus efficace sur le long terme, est de sensibiliser les plus jeunes dans les écoles par exemple. Ils sont à la fois les premiers ambassadeurs auprès de leurs parents et les premiers concernés par le changement climatique. Un impératif : adopter une approche pédagogique, participative et enthousiaste, à travers des ateliers par exemple, et non une approche descendante et moralisatrice.

En cette période de fête, il est ainsi possible de leur faire fabriquer des cadeaux de Noël en donnant une deuxième vie à certains objets ou matériaux.

Promouvoir des cadeaux de seconde main ou réalisés à partir de matériaux recyclés permet de sensibiliser à l’économie circulaire, mais aussi à la consommation responsable.

Dans une optique proche, les élèves du Collège Saint-Louis-de-la-Guillotière à Lyon organise, cette année, un marché de Noël de décorations de seconde main et/ou réalisées à partir de matériaux recyclés (laine, cartons, emballages de papillote…). Une vente dont la recette servira à financer des projets.

Autre approche : jardiner ou cuisiner des recettes à base de produits non transformés et locaux, voir même de restes ! Une façon d’éduquer au goût, à la consommation locale et à la lutte contre le gaspillage alimentaire.

Des vœux durables et résolutions responsables

La nouvelle année est une période privilégiée pour communiquer de bonnes et responsables résolutions auprès des habitants. Encore faut-il adopter le bon outil, le bon message et le bon ton !

Eco-concevoir ses cérémonies des vœux

Moment convivial réunissant les parties prenantes de la collectivité et de valoriser l’action locale, la cérémonie de vœux doit aujourd’hui intégrer les critères d’éco-responsabilité. Ainsi, l’organisation de l’événement devient une façon de communiquer à part entière : les choix opérés témoignent de l’engagement de la structure. Grand Paris Sud a ainsi pris le parti, en 2020, d’organiser des vœux zéro déchets en incitant les participants à suivre cette initiative. Que ce soit le lieu choisi (une plateforme de compostage des déchets), la restauration proposée (locale et de saison), la communication éco-conçue ou la décoration, Grand Paris Sud a relevé le défi d’un événement éco-conçu de A à Z.

Des cartes de vœux plus responsables

L’envoi de cartes de vœux print est, encore aujourd’hui, un vecteur de communication traditionnel pour souhaiter une bonne année. Les choix graphiques et d’impression faits pour ces cartes peuvent avoir un impact. Consommation de papier, d’encre métallique, de vernis… Des alternatives plus respectueuses de l’environnement sont possibles, et parfois plus originales ! C’est notamment le cas des cartes biodégradables à planter. Il est également possible d’opter pour des cartes plus classiques et tout aussi durables comme celles en papier recyclé ou en bois (attention aux choix des matériaux et à leur provenance).

Concernant les cartes de vœux numériques, elles permettent certes de ne pas consommer de papier, mais possède toute fois un impact : le temps passé à en trouver une sur internet ou à en concevoir une, son poids, la présence d’animation, de photos, l’envoi des mailings… peuvent consommer beaucoup d’énergie. Pensez à choisir des sites possédant le certificat vert qui s’assure que l’équivalent de la consommation énergétique induite par les cartes électroniques provient bien de sources d’énergies renouvelables.

Enfin, pour limiter les impressions, envois ou événements, Il est intéressant de présenter ses résolutions en même temps que ses vœux. Des résolutions durables permettant notamment de présenter les actions et projets environnementaux et sociétaux portés par la collectivité pour l’année à venir. En effet, selon une étude réalisée par le Credoc pour l’ANCT pour 60% des Français, la transition écologique doit être maintenant l’enjeu principal de la politique territoriale.

Les collectivités sont donc attendues au tournant de l’année 2023 !

Repenser nos relations en période de crise

Webinaires, visioconférences, cours en distanciel, événementiels digitaux ont été plébiscités à l’occasion du confinement et perdurent avec la crise sanitaire et la nécessaire distanciation sociale. Ces solutions efficaces pour maintenir des relations en période de crise vont-elles toutefois devenir des tendances de fond, une fois la crise résolue ?

La crise sanitaire a en effet modifié en profondeur nos comportements, mais également notre manière d’interagir et de penser notre relation aux autres. La communication a, elle aussi, dû se réinventer pour continuer à entretenir, à créer ce relationnel qui est au cœur de nombre de ses métiers (relations presse, influence, événementiel notamment). A l’heure où chacun rentre de congés et se demande quand (et si) les choses reviendront à la normale, Melt a souhaité interroger ces pratiques qui se sont développées depuis le confinement…

La nécessité de repenser nos relations à distance

Pour faire en sorte que la vie continue, que l’activité professionnelle se maintienne, que les étudiants poursuivent leur cursus, il a été nécessaire de repenser nos modalités d’interaction et développer de nouveaux modes de relation.

Formation initiale et professionnelle à distance ou sous la forme de webinaires, sessions de networking dématérialisées pour poursuivre le développement commercial et la mise en réseau, réunions d’équipe quotidiennes en visioconférence nécessitant de repenser son mode de management, conférences de presse en distanciel…. Dans le secteur de la communication, comme ailleurs, les dirigeants, managers, salariés ont su s’adapter et imaginer de nouvelles façons de travailler, d’apprendre, d’interagir. Une adaptation qui ne s’est pas toujours faite sans grincements de dents et huile de coude !

La technologie a rendu possible cette rapide évolution et fait perdurer les relations essentielles au monde de la communication. Des solutions inventives ont été rapidement développées et de nouvelles habitudes prises.

L’overdose de relations en distanciel

Passés les premiers jours, les premières semaines et le plaisir de retrouver ses collègues, ses clients, ses proches devant l’œil de la caméra, qui n’a pas rapidement ressenti un ras-le-bol des visioconférences quelles que soient leurs formes ? Une overdose d’écran, un besoin viscéral de relation physique !

Je veux bien mettre ma main à couper que cela a été le cas de la grande majorité de ceux qui liront cet article. Trop de distanciel tue le relationnel. L’homme est un animal social par essence et la sociabilité ne peut se satisfaire d’un écran. Si ce dernier est un pis-aller, en période de confinement et de distanciation sociale, il finit toutefois par montrer ses limites. Tout du moins, est-ce ma conviction profonde et mon vécu de cette période sevrée de relation physique.

L’événementiel au cœur de la tempête

L’événementiel, créateur de lien social, de convivialité et de relations humaines, est sûrement l’un des secteurs les plus rudement touchés par la crise actuelle. Cette situation ne semble pas prête à s’améliorer, les perspectives d’autorisation des rassemblements de plus de 5000 personnes étant encore très floues et lointaines

La nature a cependant horreur du vide. De nouveaux formats ont été imaginés pour pallier l’absence d’événements physiques (salon virtuel, rendez-vous d’affaires dématérialisés, congrès 3.0). Vont-ils perdurer et remplacer les habitudes jusqu’ici ancrées ? Les grandes messes rassemblant des milliers de participants seront-elles à nouveau organisées tant pour des raisons sanitaires qu’environnementales ? En effet, l’impact environnemental et sociétal de l’événementiel (déchets, transports, consommations énergétiques…) pose la question de sa soutenabilité à long terme.

En dépit de ces nécessaires questionnements et des incertitudes liées à l’évolution de la pandémie, le besoin de relations, de convivialité, de rencontres ne va pas disparaître. Il va même, de mon point de vue, être renforcé, dans le cadre de la relance économique notamment. Les entreprises, en BtoB, notamment vont avoir besoin de (re)nouer des relations avec les donneurs d’ordre, les clients, les réseaux, les partenaires. Ces relations ne pourront pas uniquement être digitales. Elles devront s’incarner sur le terrain, dans des salons et rencontres professionnelles repensées.